Mon cher ami, Je n'ai pas dû me faire comprendre clairement, puisque votre réponse est en somme conforme à ma façon de voir et qu'elle semble conclure différemment. Etant donné le principe de libre critique que vous supposez à votre revue, ce qui est excellent pour faire de [la] bonne besogne, je pensais qu'ayant fait tinter une cloche, il était tout simple d'en faire entendre une autre. Si je vous ai parlé de l'étude annoncée dans une autre revue, c'était uniquement pour souligner le fait qu'on peut aujourd'hui s'occuper de ces lépreux de cubistes sans rendre folles les foules, non plus que passer soi-même pour un détraqué.L'état du public a, je le reconnais, quelque importance, mais je pense qu'on peut aujourd'hui lui montrer une nouvelle étape à franchir, sans pour cela l'effrayer