Dans le premier pneumatique, Fernand Léger présente ses excuses à Nina Kandinsky pour un empêchement qui ne lui permet pas d'honorer une invitation. Dans celui du 30 janvier 1933, en réponse aux interrogations de Kandinsky, Léger évoque des oeuvres restées chez le galeriste Fleichteim qui ne seraint pas à lui et si tel n'est pas le cas, il propose à Kandinsky de lui en offrir une.